C'est lors d'un bartas en solo que je découvre ce trou appétissant caché par les branches basses d'un chêne à la base d'une barre rocheuse.
En semaine, le duo de djeunes retraités (Robert et moi même) commencent les hostilités.
Quelques "grands coups de masse" ne font que chatouiller la belle entrée calcifiée... Il faudra jouer du perfo, aiguille et massette pour enfin élargir cette ouverture naturelle.
Le fond est visible à cinq mètres, mais aucun courant d'air apparemment.
Je m'introduis enfin, sommairement attaché dans ce conduit vertical, aux parois tout le long bien érodées, Robert d'en haut veille au grain...
Dès le milieu de la descente, le diamètre du puits devient plus confortable, avant d'arriver (malheur), au sommet d'une étroiture verticale.
Nous inversons les rôles, c'est à son tour de descendre.
Arrivé au fond, jambes coincées, il prend quelques photos vers le bas à l'aveugle, puis remonte.
Les résultats photographiques sont édifiants: cela s'arrête là!!! (-6m)
Peut être aurons nous plus de chance... Bientôt.
Kiki